Bordel monstre de pièces métalliques dans un entrepôt délabré à l'image de sa marchandise. Les pièces détachées forment une montagne constituée des rebuts et du non-recyclable.
Quelques vieux golems inutilisés, des machines qui ne marchent pas, des inventions inutiles...
Ce n'est que de la ferraille.
Loan Fantôme du Passé - Apatride
Messages : 188 Petits Coeurs Noirs : 0 Date d'inscription : 16/07/2014 Localisation : Dans les bras d'Aaricia
Sujet: Ferailles en tout genre Mar 22 Juil - 15:46
Loan la regarde pencher la tête pour lécher la sucette. C'est assez déconcertant, il s'attendait pas à ce qu'elle ne la prenne pas et la situation est assez cocasse. Dans d'autres circonstances, elle aurait même été lourde de sens. Si bien qu'après l'avoir regardé faire les yeux dans les yeux, il fut obligé de secouer la tête pour chasser ces chaudes pensées de son esprit. Remettant la sucette sur sa langue et goutant sa salive sans vraiment s'en rendre compte.
Heureusement qu'elle change de sujet parce que sinon, ca aurait été compliqué. Il écoute ses questions et les points intéressants qu'elle soulève et lui réponds :
"Coupure intentionnelle ou non, c'est comme le golem. Je ne suis pas enjoué à l'idée de rétablir le courant. Même si dans une mission secondaire, il serait bon de trouver l'alimentation générale de la ville. Si il y a eu un problème, c'est la bas qu'il se trouve. Mais effectivement, la panne s'est étendue au vaisseau aussi. Et il n'y avait pas d'orage ou de tempête magnétique. Le ciel était clair et limpide."
Il acquiesce à ses avertissements et lui réponds :
"Il nous faut, nous préparer, quoi qu'on fasse. Et je compte sur vous pour me guider dans le choix de mes armes. Enfin, si on trouve un atelier qui en possède. Et ca, c'est pas gagné."
Il commença à avancer, aiguillé par quelques pancartes et part les souvenirs de sa compagne de galère. Avec l'impression d'avoir une grande mission à laquelle participer. Mission qu'en temps normal, il se serait passé. Mais ca avait l'air rigolo et en marchant, il continua la conversation en lui disant : "Ouais, pour les golems, faudra être préparé et travailler avec précaution et doigtée. Je pense qu'à deux, on devrait arriver à ranimer une de ces bêtes. Faudra juste trouver comment on le court-circuite avant de savoir comment on l'allume quoi." Il ne fit pas vraiment attention et vit que leurs pas les avaient amené finalement dans le quartier des artisans. A son grand regret, il n'avait pas vu d'étale à journaux et il eu du mal à cacher sa déception à sa partenaire mais c'était à charge de revanche. Il dut s'arrêter net un instant. Et lever le nez en exprimant un simple :
"Whaaaa..."
Avant de reprendre son chemin vers la première bâtisse qui se présentait à eux et qui avait l'air d'être un grand stock de pièces détachées en tout genre.. avec un peu de chance, il y aurait des armes, aussi, Loan sonda l'intérieur de l'entrepôt en mettant sa main en visière. Voir si c'était le bon endroit ou pas. Checkant avec sa partenaire ce qu'elle en pensait :
"Alors, on entre ou pas ? C'est loin de l'atelier d'armes que je m'imaginais.. ca a l'air d'être remplit de vieilleries.."
La distance qui nous sépare de cet entrepôt de ferraille n’est pas si éloignée que je m’étais imaginé. Sans doute dû au fait, que sur le chemin, mais toujours dans la prudence, nous avons échangés quelques phrases.
J’ai emmagasiné ces paroles, cela corrobore de plus en plus a quelque chose d’intentionnel. Dans tous les cas, il faut qu’il s’arme de quelque chose.
L’endroit, est somme toute bien vaste, et des tas de morceaux de je ne sais quoi brille dans les talus métallique. Viens bien entendu l’histoire ensuite des robots. Je suis un peu hésitante, sur l’idée d’en refaire démarré un. Comme si le fait d’en réactiver un, réactiverais tous les autres présent dans l’île, et si ils venaient à nous attaquer, nous serions perdant, c’est là l’évidence malheureusement.
« Ok, il faut déjà que l’on recherche un pièce pouvant faire office de barillet à deux fonctions.. Je pense en effet, qu’une arme à feu avec pas trop de recul pourrait te convenir. Il faut que ce soit léger, et pas trop encombrant … et utile en cas d’attaque de Golem ou autre truc du même genre.»
J’ai peut-être déjà une vague idée de ce que je pourrais lui construire, j’ai les outils nécessaires, et en ce lieu, je pense trouver un fer à souder. Une pile ….
« On entre ! En cherchant bien, on va trouver ! Les vieilleries elles aussi, ont de quoi rivalisé avec le new Tech ! »
Je m’enfonce alors, en direction du nord. Mes pas font écho sur le bris de fer, les grincements aussi s’en donnent à cœur joie !
Loan Fantôme du Passé - Apatride
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Sujet: Re: Ferraille Mer 23 Juil - 2:02
Forcément, elle entre. C'est pas que loan n'est pas courageux, bien au contraire, il est même parfois inconscient mais même si ya l'air d'y avoir personne. Elle, elle est armée et lui non. Puis, c'est aussi l'occasion de la regarder remuer du popotin et ça, ça n'a pas de prix. Pour le moment ça va, il n'aime pas trop le bruit des talons de ses bottes noires qui résonnent. Mais il se dit que s'il y avait eu quelque chose de réveillé dans le coin, ça fait longtemps qu'il se serait manifesté en bien et en mal.
Mais passé le temps de la contemplation des lieux et de la rêverie. Le duo doit entreprendre d'assembler une arme. Le musicien se rappelle avoir écouté attentivement ce dont elle a besoin pour assembler ceci. Et ne peut s'empêcher de sauter de joie quand elle annonce que ce sera une arme à feu. Faut dire, il avait toujours rêvé de tirer sur tout ce qui bouge. Enjoué par l'idée et rassuré par son avis sur la richesse des lieux, il enregistre ce qui est nécessaire dans sa petite tête et fouille de son côté en soulevant des bouts de golems, ouvrant des caisses en bois et poussant des piles de piles.
Si bien qu'au bout de quelques temps, il arrive à réunir quelques pièces nécessaires, comme une crosse de fusil un peu sophistiquée. Une gâchette en cuivre, un peu bizarre. Et plusieurs viseurs en verre polit dont un assez cool, parce qu'il est verdoyant. Vu qu'ils s'informent en allant de leur exploration et sachant qu'elle a trouvé le reste, il laisse tomber ses recherches qui deviennent infructueuses et s'avance vers un pseudo bureau-atelier remplit de ferrailles et d'outils à gaz. Un bon coup d'avant bras dessus et tout se casse la tronche par terre.
Mais la plus belle découverte reste ce qu'il vient de découvrir en levant la tête. Devant lui, les trois quarts d'un mécha inachevé lui font face. Le genre de mastodonte de technologie piloté par un humain avec un cockpit enfermé dans sa coquille de verre. Même si l'objet est démembré et qu'il est assez poussiéreux, il n'en reste pas moins une vraie œuvre d'art artisane. C'est pour ca que le musicien décide d'appeler sa partenaire de mission en lui disant :
"Viens vite voir, je crois qu'on a tout pour construire l'arme... et plus si affinités... vu ce nid d'amour."
Il entend ses pas marteler le sol à chaque fois qu'elle se déplace et les sons qui résonnent quand elle bouge des choses. Mais le musicien reste imperturbable depuis sa dernière découverte. Il reste planté là, la mâchoire inférieur lâche, impressionné par ce géant d'un autre temps.
[Loan aura posé sur le bureau. Des munitions à poudre. Une crosse, des viseurs et gâchettes et percuteurs.]
A imaginer désossé en grande partie et poussiéreux.
Agenouillée au milieu des décombres, je fouille et farfouille. Parfois lorsque je remue mon bras dans ces innombrables bout de métal l’un ou l’autre, saute et atterri presque à hauteur de mon menton. C’est pourquoi, je décide de baisser mes lunettes, pour éviter que malencontreusement un éclat de fer ne s’in vite dans mon œil. C’est là que je remarque que finalement ces lunettes à double montures cachent bien leur jeu. Je détecte avec les verres du premier foyer une pile clignotant à mon œil en vert. Visiblement elle a de quoi encore alimenter quelque chose de gros vu le diamètre de celle-ci.
Hop, de un …
Dans ma tête, déjà un plan d’un pistolet se dessine.
Non loin, j’entends mon camarade en pleine recherche, d’après l’écho que j’ai, il doit être sur ma gauche un peu plus bas.
Oh, tient … Ouais, ça, ça va le faire ! C’est comme ça que j’accumule mon butin, jusqu’à ce que j’entende Loan m’appeler. Je stoppe net mes pérégrinations, me relève, tapote avec mes mains mes genoux et mes fesses, pour me dépoussiérer, puis le rejoins.
« Par Tous les Bots d’Agaropp !!! »
Je reste un instant ahurie devant cette découverte.
« Alors ça ami …. »
A se réplique de nid d’amour, un sourire mutin se dessine sur mes lèvres. Et ma tête se secoue légèrement.
Je relève mes lunettes après avoir constaté avec celle-ci, que visiblement ce géant de fer est bel et bien inanimé. Son aura était rouge … Of f…
« Au boulot ! »
Je me dirige vers le bureau, prends un vieux bidon rouillé puis m’assois, j’attable mes découvertes avec minutie, de la plus petite à la plus grande pièce, et puis branche une prise dans une encoche de mon bracelet. Il nous faut du jus pour assembler tout ça !
Bien, double canon scié, un côté réservoir à balles, Viseur longue portée, et viseur indiquant l’autonomie d’un robot ou autres méthaniques … et un autre côté genre teaser…. Electricité – Coups violent avec balle pas trop gros calibre, car elles seront tirées plus vite. Faut aussi que ce soit utile contre de l’acier.
Au bout de quelques longues minutes, j’admire mon œuvre avec un sourire éclatant !
« Voici mon cher ami dès à présent ton compagnon inséparable. Il faut que tu lui donne un nom. Sinon, il n’en fera qu’à sa tête … »
Il se fait tard sans doutes, mais je n’ai pas sommeil, je sens l’air froid s’insinuer aux travers de l’endroit. J’ai déjà trop longtemps dormi. Peut-être faudrait-il que je le laisse dormir, et ainsi, je prends le premier tour de garde …
Loan Fantôme du Passé - Apatride
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Sujet: Re: Ferraille Mer 23 Juil - 17:21
A son exclamation un peu particulière, j'acquiesce lentement de la tête sans quitter le mécha du regard et l'écoute confirmer que ma fascination nous est commune. Puis à son sourire mutin, je lâche le mécha du regard pour lui faire un clin d'œil complice. Puis, j'essaie d'imaginer la place qu'il doit y avoir dans ce cockpit, juste de quoi pouvoir dormir à deux. Une place de rêve, un hôtel 4 étoiles pour des aventuriers tel que nous. Mais il n'est pas le temps de s'attarder sur ce genre de détails.
Car, je l'entends déjà s'affairer à construire l'arme. Si bien qu'après avoir lâcher un dernier regard vers le mécha, je finis par me mettre à son chevet, l'observant assembler et construire l'arme à feu. Je me laisse aller à poser mes poings sur mes hanches et à contempler ses mains fines travailler avec précision sur l'arme. Je resterais toute ma vie fasciné par l'adresse et la minutie de cette femme. Elle assise sur son bidon rouillé. De temps en temps, je lui passe un objet dont elle a besoin, d'autres, j'attends simplement.
Puis, après quelques longues, très longues minutes et une patience avérée, voilà que le travail fini par s'achever. Quand elle s'exprime, je l'écoute et lui sourit en coin face à la merveille qu'elle a réussit à sortir de cet entrepôt de ferrailles. Si bien quand elle me parle d'un nom, je lui réponds en prenant l'arme et essayant de la faire tournoyer dans ma main comme je l'aurais fait avec un instrument de musique puis vérifie que le viseur est bien en face. Satisfait, je lui dis simplement :
"J'y réfléchirais dans la nuit." Puis, sentant que le vent s'engouffre entre mes côtes, je lui fais signe de la tête en lui disant : "Allons voir ce mécha. Pas de garde cette nuit. J'ai besoin d'une couverture."
Puis, l'invitant à me suivre, tenant l'arme par le canon, horizontalement, je me dirige vers le monstre d'un autre temps pour tenter de déplier l'éventuelle échelle. Grinçante, cette dernière finit par dire oui et grimpant sur les premiers échelons, m'assurant qu'elle m'a suivi, j'essaie d'actionner les mécanismes qui ouvrent la coquille de verre. Ils résistent, une fois, deux fois, trois fois... après quelques coups de poings, ils finissent par partir. Remontant ma manche sur mon poing, je frotte la poussière du verre pour jeter un œil à l'intérieur. Personne. Parfait. Aussi, grimpant sur les tôles du mécha afin de laisser ma compagne monter plus haut sur l'échelle. Je lui lance un regard alors que je pose mes mains sur la coquille de verre en lui disant : "Aidez moi à soulever ca. S'il vous plait."
Puis, forçant déjà, j'attends qu'elle m'aide pour pouvoir soulever la coquille et nous engouffrer à l'intérieur pour la nuit.
Comme si il avait entendu mes pensées, il parle de garde. J’ai peur de m’allonger, car j’aurai à nouveau l’impression qu’une porte vitrée se refermera sur mon corps. Ce Droïde me fait penser à l’habitacle que j’ai eu il n’y a pas si longtemps. Et si nous resterions enfermer à l’intérieur ? Tout ceci ne rime à rien, aussi je préfère chasser cette idée de ma tête.
J’hésite un instant, avant d’aller le rejoindre pour l’aider à ouvrir le cockpit. J’ai fait les premiers pas pour m’obliger à continuer de monter l’échelle. Je n’ai pas d’autre choix, il est évident, que je ne suis pas faite pareille que mon compagnon de route, cependant, je ressens presque à outrance le froid aguichant ma peau.
« J’arrive ! »
Le mécanisme désarçonné ça ne devrait pas prendre trop de temps pour l’ouvrir.
Non sans mettre un peu de force, la fenêtre s’ouvre. Une odeur étrange sort de l’intérieur de ses entrailles de ferraille. J’émets un hoquet de surprise une fois l’air humé. Cela ne me dit rien qui vaille. Mais à choisir, ne vaut-il pas mieux se retrouver à l’abri ? Du froid en tout cas…
« Je t’en prie, passe devant ! Je pense qu’il fera déjà un peu meilleur à l’intérieur … Je resterai près de toi. Repose-toi. »
Il n’y a certainement pas beaucoup de place à l’intérieur. Il ne faudrait pas que l’on soit une personne de plus …
Loan Fantôme du Passé - Apatride
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Sujet: Re: Ferraille Mer 23 Juil - 22:26
Forcément, que je les avais lu ses pensées. Et c'est pas le truc qui me surprends le plus. Plutôt son attitude face au mécha. Je ne sais pas trop si c'est une hésitation à cause de la taille impressionnante du machin ou si c'est lié au cockpit. Mais sur le coup, je laisse tomber. Puis, quand elle arrive enfin en haut. Vu son hésitation palpable, je comprends enfin où est le problème. Même si je sais pas encore la raison. Apparemment, vu qu'elle me laisse passer devant. Elle si courageuse d'habitude. Elle a un soucis avec les globes de verre. Aussi pour la rassurer, j'entre le premier en lui disant : "Allez, c'est qu'une vieille carcasse, tu vas pas rester à veiller. Viens sur mes genoux."
Dis-je en m'installant sur les vestiges d'un vaste siège qui fait deux fois ma largeur. Surement que le type qui rentrait dedans, devait rentrer avec son scaphandre. Va savoir. C'est pour cela, que la jaugeant de bas en haut, vu que si elle veut rentrer, elle est obligée de venir sur mes genoux. Ne pouvant s'asseoir ailleurs, ou se tenir debout ailleurs. Je lui tends ma main, paume vers le ciel pour l'inviter à la prendre. Dans le seul but de l'attirer à moi. En rajoutant : "Si tu reste dehors. Tu vas attraper un rhume. On doit être à plus de 10 000 pieds d'altitude." Puis, tapotant un peu du pieds, j'attends tranquillement qu'elle se décide. Lui offrant mon regard le plus rassurant au possible. Et coinçant mon fusil quelque part dans un coin du cockpit.
Bon, l’heure de la décision …. Viendra, viendra pas … Peu importe, il a raison, je ne vais pas pouvoir resté là, à l’extérieur … Habillé comme je suis, je ne vais pas pouvoir gardé beaucoup de chaleur. Et puis, il est gentil. En fait, tout bien réfléchi, c’est plutôt lui qui me devrait quelque chose, alors, je souris …
« Très bien, mais va pas t’imaginer que c’est parce que je me mets sur tes genoux que je vais me plier à toutes tes envies, et ce, quelles qu’elles soient ! »
Une espèce d’assurance s’empare de ma personne. Je devine alors, que ce sont là, les restes de l’autre chose. Celle que l’on a utilisée pour le duplicata… J’arrive à me projeter dans ses pensées, en fait, je ne parle pas d’une réelle projection, mais bien de faits. Les yeux, ne peuvent mentir !
Je lui saisis la main, puis m’enfile à l’intérieur du cockpit. M’installe le plus confortablement sur ses genoux, me cale entre ses jambes en prenant soin de retirer mon fourreau pour déposer mon épée sur le côté. Quant à mon Apache …. Je le garde au chaud dans mon ceinturon.
Qu’on se le dise, je ne suis pas un jouet ! c’est moi qui décide si je veux me distraire ou non.
C'est le bruit que fait une serrure quand elle se verrouille Ou tout objet assimilé à une serrure
CLACK.
Le cockpit devait probablement contenir un système de verrouillage automatique
Comme tout espace clôt et étroit, on fini par étouffer D'abord, vient la surprise Puis le calme apparent Ensuite, une anxiété s'installe D'abord sourde mais qui creuse son chemin dans les affres de notre cervelle Dans les souvenirs Les peurs... Là, où naissent les angoisses La peur de l'enfermement ? La claustrophobie ?
Nemesi, es-tu claustrophobe ?
Parce que tu es enfermée... Dans un espace très petit Si étroit Où chaque geste gène l'autre Chaque mouvement est compliqué, difficile, épuisant A force
Et toi, Loan... Je sais ce que tu imagines... Mais ton petit fusil ne trouerait même pas le Q d'un bébé phoque
Mais, j'y pense... Quelle est ta peur la plus intime ? Que révèle en toi, l'idée d'être plongé dans le noir et enfermé dans un espace aussi réduit...
