Des centaines de guirlandes électriques sont pendues entres les gouttières ici. Les pavés et les bâtiments sont peints de milles couleurs et l'inclinaison des rues permet au soleil de s'exprimer librement et d'inonder les rues de son éclat. Mais le courant ayant sauté, les guirlandes sont toutes éteintes... Vous auriez aimé voir ces ruelles en temps normal, avec ses luminaires et ses habitants. Ni l'un ni l'autre ne sont présents. Quelle tristesse. Les rues sont aussi vides que le reste de Snjor. Ici, des maisons et des appartements à peine désertés. Vous y trouverez donc des lits encore fait et de la nourriture disponible en abondance.
Ici aussi, quelques golems appuyés sur des murs, éteints. Certains sont détruits, d'autres non.
je tiens ma poupée en metal par la main, je lui laisse pas trop le choix. ama cocinelle! Aller Marlone, bombe le torse..ouais peu credible au final.
" faut trouver un coin pour dormir..."
je mate son bras qui semble encore un peu fragile... "avec la nuit tu va prendre l'humidité, je ... je vais réparer çà"
la rue est desert, sans vies, meme les golems qui jonchent le sol, m'inquiete un peu. Bordel se passe quoi dans ce trou à rat... il fait sombre. " regarde là!"
je pointe une bâtisse , la porte entrouverte
"faut manger aussi hein...."
je la regarde, silencieuse, je pense qu'elle est inquiète aussi, je replace une mèche des cheveux de ma petite coccinelle
"t'inquiète pas hein... on va trouver un coin a l'abri de tout çà... ce vide...."
j'entre dans la bâtisse, Matilda en main. je caresse sa main du pouce pour la rassurer, un escalier, une porte, un appartement ouvert. c'est pas le grand luxe, c'est pas grand, juste un petit studio d'étudiant limite. Y a juste un grand lit, une table, un petit coin pour cuisiner, . y a un sofa, une petite table et deux chaise. une corbeille de fruit, çà semble pas invarié.
" je prend le sofa, toi va dormir stp..."
je m'installe les jambes croisé sur le sofa, mon coude comme oreiller. la nuit porte conseille souvent. Marlone grand seigneur galant!
(en pause avec Matilda alors laisser nous pioncer )
Dernière édition par Marlone Magic le Jeu 24 Juil - 20:36, édité 1 fois
Je l'ai suivi. Je ne sais pas pourquoi mais sa détermination me rassure. Et m'amuse. Il prend le sofa et me laisse le lit " grand seigneur ! Tu te la joues à la Marlone Brando ?" Je pouffe... Je sais elle est très mauvaise et il ne connaît sans doute pas cet acteur d'un autre temps. En tout cas cette petite course au travers des ruelles désertées et cette situation n'aident pas à calmer mes hormones en ébullition... " la nuit tombe, il va faire très froid, tu, vous, pourriez partager cette couette avec moi..." Je soulève un coin de la couette fine sous laquelle je compte me glisser. Mais d'abord je dois enlever mes bottes. Entre autre. Delaçage de bottes. Delaçage de corset. Me voici en chemise très longues jusque mi cuisse. Les cheveux lâchés. Les joues rosissantes. Heureusement la nuit s'abat sur nous sans concession. Enveloppant ma pudeur tel un chaperon jaloux. "c'est à tâtons que vous allez devoir devoir me trouver " et dans ma voix on entend mon sourire
Je relève la tête rapidement vers le lit. Oh purée fait chaud d'un coup, elle fait un strip... Délaçage de bottes. Bordel torticolis du muscle de la langue. elle va touché terre... ma langue... Délaçage de corset. les yeux, grand ouvert malgré le noir ...putain j'arrive pas à clignée des yeux! La chemise qui la couvre a peine mi cuisse. Merde je bave.. je bafouille... j'arrive pas a parler
secoue la tête Marlone, secoue la tête j'ai dit...
" la nuit tombe, il va faire très froid, tu, vous, pourriez partager cette couette avec moi..."
et maintenant comme une déesse qui va mettre à mort la pauvre bête masculine que je suis... la mise à mort!!!! je me redresse sur le sofa assis, les bras sur mes genoux, la tête vers le sol. aucune réaction du bonhomme là.
Même le froid me fait pas réagir j’ai chaud… dedans, oui oui là aussi
« c'est à tâtons que vous allez devoir devoir me trouver «
« heu… là comme çà… »
Je prend élan sur mes jambes pour marcher, faut dire que je remercie et maudit la nuit noir qui est vite arrivé. Me prend le coin du lit je m’assois sur le bord, une jambe dans le vide. A moitié avachi. Je reste par-dessus la couette, sinon je répond plus rien, je tâtonne doucement pour touché ses cheveux, sa tête. Je flanche la mienne contre les barreaux du lit.
« tu souris c’est pas drôle… dites pas le contraire, je le devine tellement »
Mon coeur va exploser de battre. Je l'entend cogner à mes oreilles alors il doit l'entendre aussi. Toutefois mon coeur n'est pas le seul à se cogner. Je ne vois pas Marlone mais je distingue les bruits des meubles qu'il rencontre sur son passage. Le lit bouge le voilà. La couette glisse. Il s'est allongé sur le dessus ce qui a découvert ma cuisse. Le bruit de choc contre la tête de lit me faut sourire et il le devine. J'avance ma main vers son visage. Je le parcours du bout des doigts comme les aveugles. J'en fais le contour lentement. Je m'attarde sur ses lèvres. ""J'ai vraiment très envie de vous embrasser "
Une vieille bâtisse, deux tourtereaux... La nuit... Pas de lumière, pas d’électricité Aucun chauffage Et le mauvais temps qui fait grincer dehors et claquer les volets Un cocktail magique pour rythmer une nuit remplie de promesse
Et puis, il y a ce lit Dans la chambre plongée dans le noir Et puis, la couette Et puis les cafards Et puis... Vous avez deja observer ces petites betes ? Regardez de plus près !
Spoiler:
Jolie bestiole ? Vous en avez tous surement écraser... Vous avez remarqué leur consistance à la fois croquante et mollasse ? Croquant à l’extérieur, mou à l’intérieur...
CRACK !
Il y en a partout, plein Des centaines ! Non, des milliers ! Vos mamans ne vous l'ont pas appris ? Les cafards sortent la nuit... Et là, grimpent et courent Sur la poupée de chair de métal...
AIE AIE!!! elle a les mains sur moi! elle me tire l'oreille, frôle mon menton, caresse mes lèvres. Merde j'ai envi de croquer sa main. Son doigt, juste le bout du pouce, la ou c’est tendre et pulpeux Oh pinaise! elle a les mains gelé! Pourtant j’ai chaud
« J'ai vraiment très envie de vous embrasser "
je crois que mon QI viens de prendre une gifle à Terence Hill, PAF PAF! aller retour parfait qui claque mes pensée. je crois que j'ai pas compris ce qu'elle viens de dire, je bafouille des son mal articuler:
"quoi... je te.. je vous embarrasse? heu.. je vais reprendre le sofa alors... "
Puis j’entend un bruit, je détourne la tête de son visage, dans le noir on vois rien. « vous avez entendu? »
Je pose ma tête sur le dessus de la sienne, pour sentir ses cheveux. Et la je sens un truc qui grimpe, qui grimpe qui grimpe plus haut et me caresse mon service qui est plutôt en forme j’avoue!
« heu Matilda… » je me trémousse en laissant un son plutôt enjoué « huum oh! doucement… c’est fragile çà »
Puis je sens sur mes bras, les bruits, je saute du lit, poussant sans faire gaffe la coccinelle a l'autre bout du lit.
« bordel y en a partout, Matilda, t’es ou… »
je tâtonne le lit. Je cherche sa main, mais c’est pire, y en a partout sur le lit, ses pieds, ses cheville, je frotte ses jambes. J’écrase sans le vouloir au sol… Crack crack…. Beurk mais j’ai ma coccinelle qui est envahi, dans deux secondes sois elle s’évanouie sois j’ai plus de tympan! « putain on vois que dalle….. Valiso! Lampe !!!! »
J’hurle a ma pauvre invention qui dois être pas loin…. « VALISO!!!!! »
Ça cours ça grouille, c'est la fête à la grenouille... Non ce ne sont pas des grenouilles. Marlone se débat et moi je me propulsé hors du lit en saisissant la main qui se tend. Je sens les meubles et je grimpé. Hoooo mon dieu.! mais ça cours de partout... Ça chatouille. Ça gluantise quand on marche dessus et on peut pas l'éviter ni léviter. J'ai pas d'insecticides. J'ai pas de feu ni de combustible pour en faire Pas de lumière Et je hurle comme une damnée mais pas longtemps parce que ça entre par tous les troux! Heureusement que ma culotte est très serrée. Merci à ma sainte gourmandise. Fichtre ce n'est pas le genre d'insertion que j'avais en tête. Bref... On est dans la merde!
Les heures passent... Le petit jour se lève... Mais la pluie persiste. Mais tout de même, c'est mieux. Vous vous sentez plus détendu. La nuit s'efface lentement et avec elle, les cauchemars et les fantômes. Le cadavre découvert dans les ruelles obscures ne s'évapore pas, lui. Il faut croire que ce n'était pas une hallucination.
Lindblum est toujours introuvable. Il faut dire que la moitié de la ville vous est toujours fermée.
L’île ne bouge plus. Sa navigation était probablement assurée par des moteurs rendus inertes par la panne de courant. Et elle se trouve presque au-dessus du continent, lentement poussée par les vents...
Valiso nous as donné un coup de main avec son générateur de secours. J'ai huilé la petite poupée Matilda, bon ok Marlone pas comme tu avais eu envi hein!
j'avance vers elle avec ma pompe à huile, je pause une main sur son bras, celui en cuivre qui brille. j'huile chaque partie pour pas qu'elle reste coincé la coccinelle en métal cuivré. mais MERDE MARLONE! j'eclabouss en pompant trop fort, sa chemise la mienne bref on est dégueu en gros. je me met a rire
" bordel..oups pardon miss Matilda...j'ai pas fait attention"
et dire que cette fille porte juste ses bottes et cette chemise! les bottes elle les a vite enfiler pour écraser tout ce petit monde..
j'ai réussis à me changé, c'est que j'avais eu plusieurs fois chaud avec elle! bon j'avoue aussi çà... soupire
on a tellement passé de temps a massacré les saloperie que tout est gluant au sol. je tend un bras, une main, une aide a Matilda.
"faut qu'on bouge d'ici, retourné trouvé des gens d'ici...heu... tu.. vous .. vous voulez des vêtements? enfin rien qui va te... vous mettre en valeur mais bon, c'est propre ..."
je fouille dans un compartiment de Valiso, et je trouve une pantalon couleur sahel et une veste marron. je me retourne vers elle "une ceinture? bretelle.. je porte pas mal de bretelle..."
je dégluti je la regarde un peu défraichi par cette nuit agité, la tignasse un peu folle, la chemise huilé... ses cuisses a peine vêtu... ses bottes... soupire